
Alors que Donald Tusk Président du Conseil Européen venait de déclarer en Israël « je suis absolument certain qu'aucun pays en Europe ne veuille boycotter Israël » le Parlement européen a voté jeudi dernier une motion non contraignante dans laquelle les Européens encouragent la Commission européenne à étiqueter les produits israéliens. Ce vote est tout simplement un appel au boycott.
Le B’nai B’rith France et son Président Serge Dahan condamnent de la façon la plus ferme ce vote qui appelle le chef de la politique étrangère de l'Union Européenne Federica Mogherini « à prendre les devants au sein de la Commission en vue d'achever les travaux sur les lignes directrices à l'échelle européenne sur l'étiquetage » des produits Israéliens fabriqués en Cisjordanie
Un tel vote s’inscrit dans la droite ligne des actions condamnables de la campagne BDS dont l’objectif est de s’en prendre aux intérêts économiques et culturels d’Israël et de véhiculer des messages de haine et de violence dans un contexte marqué par une forte hausse des actes antisémites en Europe.
On peut s’étonner que l’instance démocratique et représentative de l’Union européenne favorise ainsi une politique défavorable au processus de paix à travers un vote dont les palestiniens seront d’ailleurs les premiers à subir les conséquences.
Ce vote s’inscrit pourtant quelques jours seulement après le voyage en Israël du ministre français de l’économie Emanuel Macron, au cours duquel des contrats ont été conclus entre des sociétés israéliennes et françaises. Le ministre avait alors déclaré « Combien faudra-t-il répéter que la France est complètement opposée au Boycott contre Israël ? Ceux qui pensent que la France pourrait soutenir un tel mouvement se trompent ou ont été trompés ».
Le B’nai B’rith France appelle ainsi le gouvernement français à rejeter cette résolution et à se désolidariser d’une politique de délégitimation d’Israël avec les conséquences que l’on sait sur la montée de la haine anti-juive en France.
Le B’nai B’rith France et son Président Serge Dahan condamnent de la façon la plus ferme ce vote qui appelle le chef de la politique étrangère de l'Union Européenne Federica Mogherini « à prendre les devants au sein de la Commission en vue d'achever les travaux sur les lignes directrices à l'échelle européenne sur l'étiquetage » des produits Israéliens fabriqués en Cisjordanie
Un tel vote s’inscrit dans la droite ligne des actions condamnables de la campagne BDS dont l’objectif est de s’en prendre aux intérêts économiques et culturels d’Israël et de véhiculer des messages de haine et de violence dans un contexte marqué par une forte hausse des actes antisémites en Europe.
On peut s’étonner que l’instance démocratique et représentative de l’Union européenne favorise ainsi une politique défavorable au processus de paix à travers un vote dont les palestiniens seront d’ailleurs les premiers à subir les conséquences.
Ce vote s’inscrit pourtant quelques jours seulement après le voyage en Israël du ministre français de l’économie Emanuel Macron, au cours duquel des contrats ont été conclus entre des sociétés israéliennes et françaises. Le ministre avait alors déclaré « Combien faudra-t-il répéter que la France est complètement opposée au Boycott contre Israël ? Ceux qui pensent que la France pourrait soutenir un tel mouvement se trompent ou ont été trompés ».
Le B’nai B’rith France appelle ainsi le gouvernement français à rejeter cette résolution et à se désolidariser d’une politique de délégitimation d’Israël avec les conséquences que l’on sait sur la montée de la haine anti-juive en France.