l’Harmonie en loge
son existence et le moyen de vivre en harmonie avec lui-même comme avec les autres, à la recherche d’une sérénité menant au bonheur.
Le mot « harmonie » évoque instantanément en moi la notion complexe de l’équilibre dans la globalité, dans le tout. L’harmonie est non seulement nécessaire, elle est indispensable. Comment espérer atteindre sans elle ce que l’homme, au travers des différents courants de pensée, nomme lumière, éveil, connaissance ? Parvenir à l’harmonie reste évidemment une exigence difficile puisqu’elle sous-entend que chacun des éléments constituant un tout soit lui-même équilibré, de manière à pouvoir s’harmoniser par rapport aux autres.
Imaginer son contraire, l’inharmonie, permet de mesurer le chaos que celle-ci engendre et l’impasse dans laquelle elle nous plonge.
S’agissant de l’harmonie du corps et de l’esprit de l’homme, cette recherche de l’équilibre est tout aussi subtile et délicate car elle devient le moteur de tout progrès possible, marquant ainsi les premiers pas vers la sérénité et le bonheur qui devraient être accessibles à l’être humain.
La connaissance de soi permet de trouver la vérité en soi-même, puis l’harmonie et le bonheur apparaissant tout simplement.
Le mot « harmonie » évoque instantanément en moi la notion complexe de l’équilibre dans la globalité, dans le tout. L’harmonie est non seulement nécessaire, elle est indispensable. Comment espérer atteindre sans elle ce que l’homme, au travers des différents courants de pensée, nomme lumière, éveil, connaissance ? Parvenir à l’harmonie reste évidemment une exigence difficile puisqu’elle sous-entend que chacun des éléments constituant un tout soit lui-même équilibré, de manière à pouvoir s’harmoniser par rapport aux autres.
Imaginer son contraire, l’inharmonie, permet de mesurer le chaos que celle-ci engendre et l’impasse dans laquelle elle nous plonge.
S’agissant de l’harmonie du corps et de l’esprit de l’homme, cette recherche de l’équilibre est tout aussi subtile et délicate car elle devient le moteur de tout progrès possible, marquant ainsi les premiers pas vers la sérénité et le bonheur qui devraient être accessibles à l’être humain.
La connaissance de soi permet de trouver la vérité en soi-même, puis l’harmonie et le bonheur apparaissant tout simplement.
Et en loge !
Tout ce qui vit à la surface de la terre a besoin d’un certain agencement avisé des forces en présence pour perdurer et prospérer. Il n’en va pas différemment au sein d’une loge du B’nai B’rith. Celle-ci ne peut fonctionner dans les meilleures conditions que si chacun y met du sien, respecte les usages, se montre soucieux de l’intérêt général et contribue à la bonne marche de l’ensemble, en laissant de côté, ses éventuelles petites excroissances d’orgueil personnel. Susceptible de perturber nos tenues. Puisqu’il est question d’harmonie, une loge est un peu comme un orchestre, en somme.
L’harmonie est un élément nécessaire et essentiel à la vie d’une loge. L’harmonie est la recherche d’un degré élevé d’accord entre individus ou groupes, l’harmonie suppose une élaboration voulue, une recherche de complémentarité et surtout la réalisation d’un ensemble beau à entendre, à voir ou à vivre.
Si elle est présente, on s’efforce d’accorder les rôles de chacun afin que l’ensemble produise quelque chose de différent, de meilleur, de supérieur au total des parties prises séparément.
La recherche de d’harmonie implique sensibilité, intuition, finesse et amour du but poursuivi. L’amour fraternel autre valeur du B’nai B’rith, en est le principal agent actif.
Là où une fraternité sincère est appliquée, là seulement l’harmonie est possible.
Sitôt qu’apparaissent l’inimitié, le mépris, la froideur ou l’indifférence l’harmonie n’est plus réalisable.
Une association où règne une certaine liberté de pensée peut être sujette à des divergences sur le fond. Il est parfois nécessaire de reconnaitre les écueils, de les analyser fraternellement, de les discuter sans aucun jugement de valeur sur l’un ou l’une d’entre nous. La dysharmonie trop grande doit être mise au jour, discutée et formellement résolue.
Il est facile de démontrer que l’harmonie est une qualité naturelle et vraiment existentielle. Les vaines querelles et zizanies, les désordres et déséquilibres devraient être étrangers en loge. Comme dans toute association ou groupe humain, il est des moments où chez nous la qualité des rapports mutuels, l’harmonie sont en défaut. Les sourires « fraternels » étaient présents mais manquaient du véritable et authentique sentiment qui, par définition, les inspire.
Cet amour fraternel devrait à lui seul garantir l’harmonie. Comme ce n’est pas toujours le cas, cherchons à savoir pourquoi. Essayons de visualiser les causes de dysharmonie, qu’elles soient individuelles ou collectives. Très clairement et franchement, il faut combattre et éliminer les causes. Tout va apparemment bien si on n’en parle pas. Toutefois l’atmosphère peut être empoisonnée par les déchets hâtivement poussés sous le paillasson.
Pour faire régner l’harmonie dans un groupe humain quel qu’il soit il faut de la détermination, une volonté de voir clair et d’appeler les choses par leur nom. Cela est encore plus vrai pour une association comme la nôtre ; de sœurs et de frères qui s’aiment et se respectent. La liberté, la tolérance, et le respect mutuel absolu sont indispensables.
« C’est une belle harmonie quand le dire et le faire vont ensemble » Montaigne
Roger Kramer
Loge René Cassin
Antibes
L’harmonie est un élément nécessaire et essentiel à la vie d’une loge. L’harmonie est la recherche d’un degré élevé d’accord entre individus ou groupes, l’harmonie suppose une élaboration voulue, une recherche de complémentarité et surtout la réalisation d’un ensemble beau à entendre, à voir ou à vivre.
Si elle est présente, on s’efforce d’accorder les rôles de chacun afin que l’ensemble produise quelque chose de différent, de meilleur, de supérieur au total des parties prises séparément.
La recherche de d’harmonie implique sensibilité, intuition, finesse et amour du but poursuivi. L’amour fraternel autre valeur du B’nai B’rith, en est le principal agent actif.
Là où une fraternité sincère est appliquée, là seulement l’harmonie est possible.
Sitôt qu’apparaissent l’inimitié, le mépris, la froideur ou l’indifférence l’harmonie n’est plus réalisable.
Une association où règne une certaine liberté de pensée peut être sujette à des divergences sur le fond. Il est parfois nécessaire de reconnaitre les écueils, de les analyser fraternellement, de les discuter sans aucun jugement de valeur sur l’un ou l’une d’entre nous. La dysharmonie trop grande doit être mise au jour, discutée et formellement résolue.
Il est facile de démontrer que l’harmonie est une qualité naturelle et vraiment existentielle. Les vaines querelles et zizanies, les désordres et déséquilibres devraient être étrangers en loge. Comme dans toute association ou groupe humain, il est des moments où chez nous la qualité des rapports mutuels, l’harmonie sont en défaut. Les sourires « fraternels » étaient présents mais manquaient du véritable et authentique sentiment qui, par définition, les inspire.
Cet amour fraternel devrait à lui seul garantir l’harmonie. Comme ce n’est pas toujours le cas, cherchons à savoir pourquoi. Essayons de visualiser les causes de dysharmonie, qu’elles soient individuelles ou collectives. Très clairement et franchement, il faut combattre et éliminer les causes. Tout va apparemment bien si on n’en parle pas. Toutefois l’atmosphère peut être empoisonnée par les déchets hâtivement poussés sous le paillasson.
Pour faire régner l’harmonie dans un groupe humain quel qu’il soit il faut de la détermination, une volonté de voir clair et d’appeler les choses par leur nom. Cela est encore plus vrai pour une association comme la nôtre ; de sœurs et de frères qui s’aiment et se respectent. La liberté, la tolérance, et le respect mutuel absolu sont indispensables.
« C’est une belle harmonie quand le dire et le faire vont ensemble » Montaigne
Roger Kramer
Loge René Cassin
Antibes