
Plus de 230 personnes, des personnalités, des représentants de l’Ambassade d’Israël, des membres du Bureau National du B’nai B’rith France, des frères et sœurs de différentes Loges et de nombreux amis du B’nai B’rith étaient présents au Cinéma Etoile Saint- Germain-des-Près pour assister à ce moment d’émotion vécue à travers cette réalité d’une ligne de front qui court du sud de l’Irak jusqu’à la frontière nord de la Syrie, à travers la réalité des combats menés par les peshmerga, « cette armée de la Liberté » qui lutte pour libérer le monde de la barbarie .
Le Président du B’nai B’rith France Serge Dahan a introduit la soirée en rappelant à quel point il avait été important pour le B’nai B’rith de soutenir ce film et les causes qu’il défend tellement proches des buts du B’nai B’rith que sont la lutte contre l’antisémitisme, la défense d’Israël et le combat pour les droits de l’homme.
Serge Dahan a rappelé avant que le film ne débute ces combats inscrits dans l’ADN du B’nai B’rith et aujourd’hui pour la mobilisation de la communauté internationale contre le massacre des chrétiens d’Orient et des Yezidis
Après la projection, Bernard-Henri Levi a exposé les conditions de réalisation du film, le contexte qui l‘a entouré ainsi que les leçons à tirer de ces hommes et de ces femmes qui se battent et qui meurent pour notre liberté et pour nos valeurs. Il a notamment fait ce parallèle saisissant et poignant entre les « Pehmerga » et les soldats de Tsahal qui partagent le même courage, la même éthique et la même soif de faire triompher la vie sur la mort au service d’idéaux de liberté et de démocratie contre les barbares islamistes.
Il a rappelé également qu’il commençait le tournage du film alors qu’il achevait l’écriture de son dernier ouvrage « L’esprit du judaïsme », une coïncidence qui n’en est pas une et lourde de significations. Un échange long avec la salle a ensuite permis d’aborder avec le réalisateur de nombreux thèmes complétant le film ainsi que les enjeux et les conséquences majeures de ce combat déterminant qui est aussi celui de toutes les démocraties.
Le Président du B’nai B’rith France Serge Dahan a introduit la soirée en rappelant à quel point il avait été important pour le B’nai B’rith de soutenir ce film et les causes qu’il défend tellement proches des buts du B’nai B’rith que sont la lutte contre l’antisémitisme, la défense d’Israël et le combat pour les droits de l’homme.
Serge Dahan a rappelé avant que le film ne débute ces combats inscrits dans l’ADN du B’nai B’rith et aujourd’hui pour la mobilisation de la communauté internationale contre le massacre des chrétiens d’Orient et des Yezidis
La projection privée de ce film, présenté au dernier festival de Cannes, était utile et nécessaire, Bernard-Henri Lévyraconte ces batailles au Kurdistan irakien de l’armée des kurdes d’Irak, les « Peshmerga », contre Daech.
Si Daech peut frapper partout, à tout moment et par surprise à travers des actions terroristes, si cet ennemi est, le plus souvent invisible, il y a un endroit du monde où il a ses bases, ses cerveaux, ses centres d’entraînement et de commandement, ses arrières et que, là, il est possible de l’atteindre. C’est ce que montre ce journal filmé d’une guerre difficile et douloureuse qui privilégie la vie et la liberté face à la mort et à la barbarie. Ce combat nous concerne tous, c’est le combat de la résistance kurde à l’État islamique au centre du commandement des attaques terroristes qui ont aussi frappé la France avec une violence inédite en 2015
Après la projection, Bernard-Henri Levi a exposé les conditions de réalisation du film, le contexte qui l‘a entouré ainsi que les leçons à tirer de ces hommes et de ces femmes qui se battent et qui meurent pour notre liberté et pour nos valeurs. Il a notamment fait ce parallèle saisissant et poignant entre les « Pehmerga » et les soldats de Tsahal qui partagent le même courage, la même éthique et la même soif de faire triompher la vie sur la mort au service d’idéaux de liberté et de démocratie contre les barbares islamistes.
Il a rappelé également qu’il commençait le tournage du film alors qu’il achevait l’écriture de son dernier ouvrage « L’esprit du judaïsme », une coïncidence qui n’en est pas une et lourde de significations. Un échange long avec la salle a ensuite permis d’aborder avec le réalisateur de nombreux thèmes complétant le film ainsi que les enjeux et les conséquences majeures de ce combat déterminant qui est aussi celui de toutes les démocraties.