
COMMUNIQUE DU B’NAI B’RITH France
Le B’nai B’rith France, scandalisé, condamne la décision de la Directrice de l’UNESCO Madame Irina Bokova qui a annulé le 16 janvier, sur simple demande écrite du groupe arabe à l’UNESCO, l’exposition sur « le Peuple, le Livre, la Terre - 3 500 ans de relations entre le peuple juif et la Terre sainte »
Le Centre Simon Wiesenthal, en coordination avec l’UNESCO, l’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, le Gouvernement du Canada, l’État d'Israël et le Gouvernement du Monténégro préparait depuis 2 ans une exposition « Le Peuple, le Livre, la Terre – La relation de 3 500 ans entre le Peuple juif et la Terre Sainte ».
Cette exposition devait être inaugurée le 20 janvier prochain par le Directeur Général de l'UNESCO, avec le parrainage d’un comité d’honneur prestigieux composé de :
· Monsieur Élie Wiesel, Messager de la Paix des Nations Unies,
· Madame Esther Coopersmith, Ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO pour le dialogue interculturel,
· le Père Patrick Desbois, Président de Yahad - ln Unum,
· Lord Carey de Clifton, Archevêque émérite de Canterbury,
· Monsieur Irwin Cotler MP, ancien Ministre de la Justice du Canada,
· et Monsieur Boualem Sansal, écrivain algérien.
La collaboration entre l’UNESCO et Centre Simon Wiesenthal a été permanente. Les organisateurs, lors de la préparation et la construction du contenu de l’exposition, ont pris en compte les commentaires et propositions présentés par les experts de l’UNESCO qui ont été intégralement associés durant l’ensemble du processus de mise en œuvre de ce projet.
Mais voilà qu’à moins de 6 jours de l’ouverture le « Groupe arabe auprès de l’UNESCO » a demandé par un courrier officiel l’annulation immédiate de cette exposition, la décrivant comme purement politique, en allant jusqu’à alléguer que cette exposition serait l’expression des « chevaux de bataille du camp opposé à la paix » ajoutant par des menaces à peine voilées que la tenue de cette exposition dans l’enceinte de l’UNESCO pourrait « faire du tort aux négociations de paix en cours »
Quelques heures après avoir accusé réception de cette scandaleuse demande, Madame Irina Bokova, Directrice Générale de la l’UNESCO, a informé le centre Simon Wiesenthal que l’exposition était reportée, et sera vraisemblablement annulée. Cette décision « capitularde » a été motivée par la lettre de sommation du « Groupe arabe auprès de l’UNESCO »
L’UNESCO a cédé honteusement à une pression partisane de dernier moment, remettant en cause sa légitimité et ouvrant une nouvelle fois sa porte aux pressions politiques contraires à son éthique, à sa vocation.
Le B’nai B’rith France est scandalisé par cette décision.
Le B’nai B’rith France s’élève contre cette tentative arabe de nier l’Histoire qui lie indéfectiblement les juifs à la terre d’Israël depuis la création du monothéisme il y a plus de 30 siècles.
Pour que la paix se fasse le monde arabe doit reconnaître le caractère juif d’Israël. « La neutralité et l’objectivité », pour reprendre les mots du Groupe arabe auprès de l’UNESCO, consistent à accepter l’Histoire, à la regarder en face.
Le B’nai B’rith France, scandalisé, condamne la décision de la Directrice de l’UNESCO Madame Irina Bokova qui a annulé le 16 janvier, sur simple demande écrite du groupe arabe à l’UNESCO, l’exposition sur « le Peuple, le Livre, la Terre - 3 500 ans de relations entre le peuple juif et la Terre sainte »
Le Centre Simon Wiesenthal, en coordination avec l’UNESCO, l’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, le Gouvernement du Canada, l’État d'Israël et le Gouvernement du Monténégro préparait depuis 2 ans une exposition « Le Peuple, le Livre, la Terre – La relation de 3 500 ans entre le Peuple juif et la Terre Sainte ».
Cette exposition devait être inaugurée le 20 janvier prochain par le Directeur Général de l'UNESCO, avec le parrainage d’un comité d’honneur prestigieux composé de :
· Monsieur Élie Wiesel, Messager de la Paix des Nations Unies,
· Madame Esther Coopersmith, Ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO pour le dialogue interculturel,
· le Père Patrick Desbois, Président de Yahad - ln Unum,
· Lord Carey de Clifton, Archevêque émérite de Canterbury,
· Monsieur Irwin Cotler MP, ancien Ministre de la Justice du Canada,
· et Monsieur Boualem Sansal, écrivain algérien.
La collaboration entre l’UNESCO et Centre Simon Wiesenthal a été permanente. Les organisateurs, lors de la préparation et la construction du contenu de l’exposition, ont pris en compte les commentaires et propositions présentés par les experts de l’UNESCO qui ont été intégralement associés durant l’ensemble du processus de mise en œuvre de ce projet.
Mais voilà qu’à moins de 6 jours de l’ouverture le « Groupe arabe auprès de l’UNESCO » a demandé par un courrier officiel l’annulation immédiate de cette exposition, la décrivant comme purement politique, en allant jusqu’à alléguer que cette exposition serait l’expression des « chevaux de bataille du camp opposé à la paix » ajoutant par des menaces à peine voilées que la tenue de cette exposition dans l’enceinte de l’UNESCO pourrait « faire du tort aux négociations de paix en cours »
Quelques heures après avoir accusé réception de cette scandaleuse demande, Madame Irina Bokova, Directrice Générale de la l’UNESCO, a informé le centre Simon Wiesenthal que l’exposition était reportée, et sera vraisemblablement annulée. Cette décision « capitularde » a été motivée par la lettre de sommation du « Groupe arabe auprès de l’UNESCO »
L’UNESCO a cédé honteusement à une pression partisane de dernier moment, remettant en cause sa légitimité et ouvrant une nouvelle fois sa porte aux pressions politiques contraires à son éthique, à sa vocation.
Le B’nai B’rith France est scandalisé par cette décision.
Le B’nai B’rith France s’élève contre cette tentative arabe de nier l’Histoire qui lie indéfectiblement les juifs à la terre d’Israël depuis la création du monothéisme il y a plus de 30 siècles.
Pour que la paix se fasse le monde arabe doit reconnaître le caractère juif d’Israël. « La neutralité et l’objectivité », pour reprendre les mots du Groupe arabe auprès de l’UNESCO, consistent à accepter l’Histoire, à la regarder en face.