
COMMUNIQUE DU B’NAI B’RITH FRANCE
Le B’nai B’rith France condamne les bombardements sur le camp palestinien de Yarmouk
Le B’nai B’rith dénonce le silence de certains médias, d’associations humanitaires et de responsables politiques et s’insurge contre le « deux poids deux mesures » dans le traitement de l’information dans cette région du monde
Photo : PHILIPPE DESMAZES/AFP
Le B’nai B’rith France condamne les bombardements du camp de Yarmouk abritant habituellement 150.000 palestiniens qui dimanche ont tué au moins vingt-cinq personnes.
Et l’attaque mardi qui a fait, selon un bilan provisoire de l'Observatoire Syrien des Droits de l'Homme, 98 morts dont 23 civils.
Selon l’OSDH plus de 43.000 personnes ont été tuées depuis mars 2011.
Le B’nai B’rith France dénonce les attaques de civils. Il s’indigne du silence des observateurs et dénonce avec vigueur le « deux poids deux mesures » permanent d’une partie de beaucoup de medias occidentaux, pour lesquels une mort dans un affrontement contre Israël pèse beaucoup plus qu’une mort dans un autre conflit.
Le B’nai B’rith France condamne les bombardements sur le camp palestinien de Yarmouk
Le B’nai B’rith dénonce le silence de certains médias, d’associations humanitaires et de responsables politiques et s’insurge contre le « deux poids deux mesures » dans le traitement de l’information dans cette région du monde
Photo : PHILIPPE DESMAZES/AFP
Le B’nai B’rith France condamne les bombardements du camp de Yarmouk abritant habituellement 150.000 palestiniens qui dimanche ont tué au moins vingt-cinq personnes.
Et l’attaque mardi qui a fait, selon un bilan provisoire de l'Observatoire Syrien des Droits de l'Homme, 98 morts dont 23 civils.
Selon l’OSDH plus de 43.000 personnes ont été tuées depuis mars 2011.
Le B’nai B’rith France dénonce les attaques de civils. Il s’indigne du silence des observateurs et dénonce avec vigueur le « deux poids deux mesures » permanent d’une partie de beaucoup de medias occidentaux, pour lesquels une mort dans un affrontement contre Israël pèse beaucoup plus qu’une mort dans un autre conflit.