
Le B’nai B’rith France condamne fermement les propos antisémites inacceptables et scandaleux proférés lors de la séance du Conseil municipal de Bagnolet devant
le Maire de Bagnolet Monsieur Marc Everbecq
Le B’nai B’rith France avait déjà dénoncé la décision du Conseil Municipal de Bagnolet qui a décerné le titre « citoyen d'honneur de la ville » à Georges Ibrahim Abdallah impliqué dans les assassinats, sur le territoire français, d’un attaché militaire américain et d’un diplomate israélien
Lors du Conseil Municipal de la Ville de Bagnolet des insultes antisémites d’un autre temps ont été proférées devant Monsieur Marc Everbecq, maire de Bagnolet
Dans l’enceinte de la Mairie, lieu républicain par excellence, un membre du public s’en est pris violemment à un citoyen par ces propos indignes et scandaleux : « Viens que je te casse ton nez long de juif ».
Le Maire, Marc Everbecq, n’est pas intervenu pour condamner ces insultes antisémites.
Le conseiller municipal, molesté en prenant la défense du citoyen insulté, s’est joint à la plainte qui a été déposée au commissariat de police pour agression et propos antisémites dans l’enceinte de la mairie lors du conseil municipal de la ville de Bagnolet.
Cette agression antisémite verbale vient après que Monsieur Marc Everbecq, maire de Bagnolet, ait nommé le 13 décembre dernier Georges Ibrahim Abdallah citoyen d'honneur de sa ville, alimentant ainsi le discours de ceux qui incitent à la violence contre les Juifs en France.
Le B’nai B’rith France avait dénoncé cette décision politique du maire communiste de Bagnolet qui souffle sur les braises de la haine et encourage les actes contre la communauté juive.
Ces propos construits sur les stéréotypes antijuifs directement tirés de la propagande antisémite nazie sont une des conséquences de cette décision du Conseil Municipal de Bagnolet et de la déclaration de Monsieur Marc Everbecq : «Georges Ibrahim Abdallah, militant communiste, a fait partie de la résistance lorsque son pays, le Liban, a été envahi par Israël en 1978. Il est un défenseur acharné de la juste cause palestinienne»,
le Maire de Bagnolet Monsieur Marc Everbecq
Le B’nai B’rith France avait déjà dénoncé la décision du Conseil Municipal de Bagnolet qui a décerné le titre « citoyen d'honneur de la ville » à Georges Ibrahim Abdallah impliqué dans les assassinats, sur le territoire français, d’un attaché militaire américain et d’un diplomate israélien
Lors du Conseil Municipal de la Ville de Bagnolet des insultes antisémites d’un autre temps ont été proférées devant Monsieur Marc Everbecq, maire de Bagnolet
Dans l’enceinte de la Mairie, lieu républicain par excellence, un membre du public s’en est pris violemment à un citoyen par ces propos indignes et scandaleux : « Viens que je te casse ton nez long de juif ».
Le Maire, Marc Everbecq, n’est pas intervenu pour condamner ces insultes antisémites.
Le conseiller municipal, molesté en prenant la défense du citoyen insulté, s’est joint à la plainte qui a été déposée au commissariat de police pour agression et propos antisémites dans l’enceinte de la mairie lors du conseil municipal de la ville de Bagnolet.
Cette agression antisémite verbale vient après que Monsieur Marc Everbecq, maire de Bagnolet, ait nommé le 13 décembre dernier Georges Ibrahim Abdallah citoyen d'honneur de sa ville, alimentant ainsi le discours de ceux qui incitent à la violence contre les Juifs en France.
Le B’nai B’rith France avait dénoncé cette décision politique du maire communiste de Bagnolet qui souffle sur les braises de la haine et encourage les actes contre la communauté juive.
Ces propos construits sur les stéréotypes antijuifs directement tirés de la propagande antisémite nazie sont une des conséquences de cette décision du Conseil Municipal de Bagnolet et de la déclaration de Monsieur Marc Everbecq : «Georges Ibrahim Abdallah, militant communiste, a fait partie de la résistance lorsque son pays, le Liban, a été envahi par Israël en 1978. Il est un défenseur acharné de la juste cause palestinienne»,