
Le B’nai B’rith France prend acte de la décision prise, sous la pression, par les Palestiniens de retirer de la proposition arabe qui devait être présentée ce matin à l’UNESCO le passage visant à faire du Mur des Lamentations une partie intégrante de la Mosquée d’Al-Aqsa.
Hier la Directrice-Générale de l’UNESCO Irina Bokova avait déclaré qu’elle « déplorait » cette proposition qui pouvait être considérée comme « tentant de modifier le statut de la Vielle Ville de Jérusalem et ses remparts et d’inciter à de nouvelles tensions ».
Cette partie du texte du projet de résolution a finalement rencontré l’opposition de plusieurs pays.
Cette marche arrière des Palestiniens constitue sans nul doute une victoire obtenue par la mobilisation d’un grand nombre de pays dont la Russie, la Chine et même Cuba et d’associations dont le B’nai B’rith qui a pris une part active à cette opposition à un texte qui remettait directement en cause le lieu le plus saint du judaïsme.
Pour autant, il n’en demeure pas moins que ce texte n’aurait tout simplement jamais dû exister, et que le nouveau projet de résolution demeure inacceptable et scandaleux.
Ce nouveau projet de résolution du groupe arabe amendé a été adopté lors du vote mercredi 21 octobre par l'Unesco par 26 voix pour, 6 contre dont l'Allemagne, les USA, le Royaume-Uni, l'Estonie et la République Tchèque, et 25 absentions dont la France. Aucun pays européen n’a soutenu cette résolution.
Le texte reprend notamment des décisions de l'UNESCO concernant la reconnaissance de la Tombe de Rachel à Bethléem et du Tombeau des Patriarches à Hebron comme des sites musulmans, et vise par ailleurs à condamner Israël pour les mesures de défense de ses citoyens contre les terroristes aux couteaux
Par ailleurs, le texte appelle la communauté internationale à une condamnation des fouilles archéologiques menées par Israël à proximité du Mont du Temple et ailleurs dans la Vieille Ville de Jérusalem.
Il ajoute, fidèle à la tradition de fausses affirmations des Palestiniens, que la récente vague d’attentats de terroristes palestiniens contre des civils israéliens est née des tentatives d’Israël de modifier le statut quo de 1967 concernant le Mont du Temple et fait ainsi porter à Israël la responsabilité de cette vague de violence.
Israël a maintes fois nié ces allégations et continue de se battre contre les attaques de toute nature qui l’assaillent aujourd’hui, qu’elles soient sécuritaires, culturelles ou économiques.
L’objectif est le même. La haine est la même. Comme l’a déclaré récemment Madame l’Ambassadrice d’Israël en France, Aliza Bin-Noun : « Ce n’est pas une Intifada, c’est du terrorisme (…). L’incendie du Tombeau de Joseph démontre ce qui se passerait si les Lieux Saints de Jérusalem étaient aux mains de l’Autorité palestinienne ».
Notre mobilisation doit rester intacte.
Même si le passage du projet de résolution concernant le Kottel est retiré, le reste du texte proposé par le groupe de pays arabes dont cette demande de reconnaissance de la Tombe de Rachel à Bethléem et le Tombeau des Patriarches à Hébron comme des sites musulmans doit être combattu.
Le B’nai B’rith France dénonce ce nouveau texte qui continue a alimenter la haine de ceux qui assassinent des civils en Israël et rappelle sa mobilisation contre l’utilisation de l’UNESCO à des fins politiques.
Hier la Directrice-Générale de l’UNESCO Irina Bokova avait déclaré qu’elle « déplorait » cette proposition qui pouvait être considérée comme « tentant de modifier le statut de la Vielle Ville de Jérusalem et ses remparts et d’inciter à de nouvelles tensions ».
Cette partie du texte du projet de résolution a finalement rencontré l’opposition de plusieurs pays.
Cette marche arrière des Palestiniens constitue sans nul doute une victoire obtenue par la mobilisation d’un grand nombre de pays dont la Russie, la Chine et même Cuba et d’associations dont le B’nai B’rith qui a pris une part active à cette opposition à un texte qui remettait directement en cause le lieu le plus saint du judaïsme.
Pour autant, il n’en demeure pas moins que ce texte n’aurait tout simplement jamais dû exister, et que le nouveau projet de résolution demeure inacceptable et scandaleux.
Ce nouveau projet de résolution du groupe arabe amendé a été adopté lors du vote mercredi 21 octobre par l'Unesco par 26 voix pour, 6 contre dont l'Allemagne, les USA, le Royaume-Uni, l'Estonie et la République Tchèque, et 25 absentions dont la France. Aucun pays européen n’a soutenu cette résolution.
Le texte reprend notamment des décisions de l'UNESCO concernant la reconnaissance de la Tombe de Rachel à Bethléem et du Tombeau des Patriarches à Hebron comme des sites musulmans, et vise par ailleurs à condamner Israël pour les mesures de défense de ses citoyens contre les terroristes aux couteaux
Par ailleurs, le texte appelle la communauté internationale à une condamnation des fouilles archéologiques menées par Israël à proximité du Mont du Temple et ailleurs dans la Vieille Ville de Jérusalem.
Il ajoute, fidèle à la tradition de fausses affirmations des Palestiniens, que la récente vague d’attentats de terroristes palestiniens contre des civils israéliens est née des tentatives d’Israël de modifier le statut quo de 1967 concernant le Mont du Temple et fait ainsi porter à Israël la responsabilité de cette vague de violence.
Israël a maintes fois nié ces allégations et continue de se battre contre les attaques de toute nature qui l’assaillent aujourd’hui, qu’elles soient sécuritaires, culturelles ou économiques.
L’objectif est le même. La haine est la même. Comme l’a déclaré récemment Madame l’Ambassadrice d’Israël en France, Aliza Bin-Noun : « Ce n’est pas une Intifada, c’est du terrorisme (…). L’incendie du Tombeau de Joseph démontre ce qui se passerait si les Lieux Saints de Jérusalem étaient aux mains de l’Autorité palestinienne ».
Notre mobilisation doit rester intacte.
Même si le passage du projet de résolution concernant le Kottel est retiré, le reste du texte proposé par le groupe de pays arabes dont cette demande de reconnaissance de la Tombe de Rachel à Bethléem et le Tombeau des Patriarches à Hébron comme des sites musulmans doit être combattu.
Le B’nai B’rith France dénonce ce nouveau texte qui continue a alimenter la haine de ceux qui assassinent des civils en Israël et rappelle sa mobilisation contre l’utilisation de l’UNESCO à des fins politiques.