Ou comment le discours anti-israélien à Gaza du chef du Hamas en exil donne à Israël un prétexte pour poursuivre la colonisation en Cisjordanie.
C'est le discours qui effraie l'État hébreu. En déplacement pour la première fois de sa vie à Gaza, Khaled Mechaal, chef en exil du Hamas au pouvoir dans la bande de terre palestinienne, a appelé à libérer toute la « Palestine », excluant de fait toute reconnaissance de l'État d'Israël. "La Palestine, de la mer (Méditerranée) au fleuve (Jourdain), du nord au sud, est notre terre et notre nation, dont on ne peut céder ni un pouce ni une partie", a-t-il insisté, assurant vouloir "mourir en martyr à Gaza", Pas de solution "définitive" à deux Etats. Julien Salingue spécialiste des mouvements palestiniens ajoute que la position de Khaled
Mechaal rejoint celles des autres organisations palestiniennes. "Aucune, y compris le Fatah, n'évoque la possibilité de deux États vivant côte à côte en tant que solution définitive", rappelle-t-il.
Source : Le Point.fr - Publié le 12/12/2012
C'est le discours qui effraie l'État hébreu. En déplacement pour la première fois de sa vie à Gaza, Khaled Mechaal, chef en exil du Hamas au pouvoir dans la bande de terre palestinienne, a appelé à libérer toute la « Palestine », excluant de fait toute reconnaissance de l'État d'Israël. "La Palestine, de la mer (Méditerranée) au fleuve (Jourdain), du nord au sud, est notre terre et notre nation, dont on ne peut céder ni un pouce ni une partie", a-t-il insisté, assurant vouloir "mourir en martyr à Gaza", Pas de solution "définitive" à deux Etats. Julien Salingue spécialiste des mouvements palestiniens ajoute que la position de Khaled
Mechaal rejoint celles des autres organisations palestiniennes. "Aucune, y compris le Fatah, n'évoque la possibilité de deux États vivant côte à côte en tant que solution définitive", rappelle-t-il.
Source : Le Point.fr - Publié le 12/12/2012