
Chers Sœurs et Frères,
Le Grand rabbin de France Gilles Bernheim vient d’annoncer sa démission
Le B'nai B'rith France imagine la détresse dans laquelle il se trouve, ainsi que ses proches. Il lui apporte tout son soutien moral pour la période douloureuse et difficile qu’il va maintenant traverser.
Il le remercie pour son action à la tête du judaïsme français, où il a œuvré avec détermination, et ouverture.
Le B'nai B'rith France rappelle que le Grand Rabbin Bernheim a entrepris avec intelligence, de nombreuses réflexions pour le judaïsme français et pour la société française dans son ensemble.
Il a eu ce courage de s’expliquer sur des affaires connexes à son activité spirituelle. Il est reconnu comme un des principaux intellectuels juifs actuels.
Durant toute sa carrière, le Grand Rabbin Bernheim a défendu et porté les valeurs humanistes, d'ouverture et de dialogue auxquelles le B'nai B'rith est particulièrement attaché.
Dans nos textes une erreur voire une faute, peut être pardonnée si elle a été formulée et confessée, avec la résolution de ne plus céder à cette tentation.
Le Grand rabbin a déclaré « « Tout cela je le regrette profondément, c’est une faute morale. (…) L’heure est à une prise de conscience personnelle ». Il nous a rappelé que « la techouva existe à condition de ne pas répéter les mêmes fautes et donc d’être beaucoup plus vigilant à l’avenir. »
Gilles Bernheim a donc demandé pardon à toute notre communauté, aujourd’hui troublée. Accorder le pardon est un processus de compréhension et de bienveillance, c’est notre devoir de juif et notre obligation de sœurs et frères B’nai B’rith.
Nous lui souhaitons de retrouver la sérénité, beaucoup de courage et l’assurons de notre fraternel soutien.
Serge Dahan
Président du B’nai B’rith France
Le Grand rabbin de France Gilles Bernheim vient d’annoncer sa démission
Le B'nai B'rith France imagine la détresse dans laquelle il se trouve, ainsi que ses proches. Il lui apporte tout son soutien moral pour la période douloureuse et difficile qu’il va maintenant traverser.
Il le remercie pour son action à la tête du judaïsme français, où il a œuvré avec détermination, et ouverture.
Le B'nai B'rith France rappelle que le Grand Rabbin Bernheim a entrepris avec intelligence, de nombreuses réflexions pour le judaïsme français et pour la société française dans son ensemble.
Il a eu ce courage de s’expliquer sur des affaires connexes à son activité spirituelle. Il est reconnu comme un des principaux intellectuels juifs actuels.
Durant toute sa carrière, le Grand Rabbin Bernheim a défendu et porté les valeurs humanistes, d'ouverture et de dialogue auxquelles le B'nai B'rith est particulièrement attaché.
Dans nos textes une erreur voire une faute, peut être pardonnée si elle a été formulée et confessée, avec la résolution de ne plus céder à cette tentation.
Le Grand rabbin a déclaré « « Tout cela je le regrette profondément, c’est une faute morale. (…) L’heure est à une prise de conscience personnelle ». Il nous a rappelé que « la techouva existe à condition de ne pas répéter les mêmes fautes et donc d’être beaucoup plus vigilant à l’avenir. »
Gilles Bernheim a donc demandé pardon à toute notre communauté, aujourd’hui troublée. Accorder le pardon est un processus de compréhension et de bienveillance, c’est notre devoir de juif et notre obligation de sœurs et frères B’nai B’rith.
Nous lui souhaitons de retrouver la sérénité, beaucoup de courage et l’assurons de notre fraternel soutien.
Serge Dahan
Président du B’nai B’rith France