
L’Opéra Garnier, haut lieu de l’art et de la culture française, a été le théâtre hier mardi 5 janvier de scènes de haine orchestrées par des membres de la campagne BDS
Ces individus ont protesté aux cris «la Palestine vaincra » contre la présence de la compagnie de danse israélienne Bathsheva Dance Compagny venue produire au même moment son ballet « Three » en présence notamment de l’Ambassadrice d’Israël en France Madame Aliza Bin Noun.
Ces individus ont protesté aux cris «la Palestine vaincra » contre la présence de la compagnie de danse israélienne Bathsheva Dance Compagny venue produire au même moment son ballet « Three » en présence notamment de l’Ambassadrice d’Israël en France Madame Aliza Bin Noun.

Les individus vêtus de keffiehs et brandissant des drapeaux palestiniens ont profané ce lieu de culture à l’image de ceux, qui par haine de l’autre, ciblent des sites historiques de l’humanité. La veille au soir, un appel à manifester devant l'Opéra contre la venue de la troupe israélienne avait déjà été lancé malgré l’interdiction de manifestation de voie publique compte tenu de la mise en œuvre de l’état d’urgence
Comme l’a souligné le Premier Ministre Manuel Valls, les liens entre l’antisionisme et l’antisémitisme sont évidents, rappelons son discours de janvier 2015 à l’Assemblée Nationale « Il y a un antisémitisme que l’on dit historique remontant du fond des siècles mais il y a surtout ce nouvel antisémitisme qui est né dans nos quartiers, sur fond d’Internet, de paraboles, de misère, sur fond des détestations de l’Etat d’Israël, et qui prône la haine du juif et de tous les juifs », un an après Charlie et après l’Hyper Cacher rappelons simplement « l’esprit du 11 janvier 2015 » à ces imposteur du BDS
Cette haine antisioniste, aux relents antisémites, s’est donc attaquée mardi 5 janvier à Paris, avec la même violence et le même dénigrement mensonger, à la culture comme aux intérêts économiques, scientifiques ou sportifs d’Israël
A l’heure où la France commémore dans le recueillement les attentats de janvier 2015 contre la République et contre les juifs, et où la mobilisation doit rester entière dans le combat contre les ennemis de la liberté et des valeurs humaines quelques semaines à peine après l’horreur du 13 novembre dernier, le B’nai B’rith France et son Président Serge Dahan condamnent avec force cette nouvelle action violente anti-israélienne en plein cœur de Paris, et demande avec insistance aux autorités de la République de prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à ces appels à la haine et au boycott.
Comme l’a souligné le Premier Ministre Manuel Valls, les liens entre l’antisionisme et l’antisémitisme sont évidents, rappelons son discours de janvier 2015 à l’Assemblée Nationale « Il y a un antisémitisme que l’on dit historique remontant du fond des siècles mais il y a surtout ce nouvel antisémitisme qui est né dans nos quartiers, sur fond d’Internet, de paraboles, de misère, sur fond des détestations de l’Etat d’Israël, et qui prône la haine du juif et de tous les juifs », un an après Charlie et après l’Hyper Cacher rappelons simplement « l’esprit du 11 janvier 2015 » à ces imposteur du BDS
Cette haine antisioniste, aux relents antisémites, s’est donc attaquée mardi 5 janvier à Paris, avec la même violence et le même dénigrement mensonger, à la culture comme aux intérêts économiques, scientifiques ou sportifs d’Israël
A l’heure où la France commémore dans le recueillement les attentats de janvier 2015 contre la République et contre les juifs, et où la mobilisation doit rester entière dans le combat contre les ennemis de la liberté et des valeurs humaines quelques semaines à peine après l’horreur du 13 novembre dernier, le B’nai B’rith France et son Président Serge Dahan condamnent avec force cette nouvelle action violente anti-israélienne en plein cœur de Paris, et demande avec insistance aux autorités de la République de prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à ces appels à la haine et au boycott.