
Le B’nai B’rith France condamne de la façon la plus forte cette exposition partisane qui tente d’influencer des visiteurs à la recherche d’informations objectives sur les origines d’un conflit.
Si les organisateurs utilisant à la fois le nom MSF et un lieu de culture de la Ville de Paris avaient voulu respecter les principes de la Charte de MSF dans laquelle figure les mots de « neutralité » ou de « non-discrimination de politique ».alors dès l’entrée de l'exposition une présentation de l’origine du conflit de 2014 aurait été proposée à savoir qu’entre le 12 juin et le 7 juillet 2014 le mouvement terroriste du Hamas a pris l’initiative de tirer depuis Gaza plus de 300 roquettes sur des civils israéliens et que ces millions de citoyens n’ont eu que quelques secondes pour se précipiter dans des abris anti-bombes.
Les organisateurs de MSF auraient dû, dès l’entrée des visiteurs, préciser que l’état d’Israël s’est désengagé complètement la bande de Gaza en 2005 et n’a aucune revendication sur le territoire.
Les organisateurs de MSF auraient dû rappeler les déclarations du Chef du Hamas Khaled Mechaal qui proclame sa vision de l’avenir : « Nous disons cela à l’Occident… Au nom d’Allah, vous serez vaincus. Demain notre nation sera assise sur le trône du monde » ; « l’objectif immédiat du Hamas est de détruire Israël »
Les organisateurs de MSF auraient dû citer le rapport du groupe de militaires, H.L.M.G, composé de généraux et de fonctionnaires de la défense d’Allemagne, de Colombie, d’Inde, d’Espagne, d’Australie, des Etats-Unis, de France, du Royaume-Uni et d’Italie qui a conclu « que l’Etat d’Israël avait agi selon les lois des conflits armés, et avait largement dépassé ses exigences ».
Enfin les organisateurs de MSF auraient simplement dû, concernant les difficultés quotidiennes des Palestiniens, évoquer les violations systématiques des droits de l'Homme par le mouvement terroriste du Hamas qui pratique les procès inéquitables, le viol systématique des droits des détenus, l’utilisation de civils palestiniens comme boucliers humains, l’utilisation d’écoles, de maisons privées, de mosquées et même d’hôpitaux pour stocker et lancer des roquettes sur Israël
Dans les textes du débat « Quel avenir pour les Palestiniens » MSF oublie ses propres valeurs de neutralité et d’impartialité « Entre ceux qui sont désespérément faibles et ceux qui disposent d’une force militaire presque illimitée, comment rester neutre et se prétendre encore humaniste ? » Le B’nai B’rith France prend acte du fait que Médecins sans Frontières n’est plus, de ses propres dires une association humaniste mais une association militante pour la cause palestinienne. Les organisateurs MSF de cette exposition ont donc oublié que ce n'est ni la force ni la faiblesse qui créent l’éthique.
Le B'nai B'rith France regrette que l'association Médecins Sans Frontières s'éloigne de ses missions menées avec neutralité et impartialité pour prendre de plus en plus les habits d'une association partisane.
Le B’nai B’rith France demande aux autorités de la Maire de Paris, de s’interroger sur le bien-fondé de cette exposition et de s’assurer avec détermination qu’aucun discours de haine aux relents antisionistes et antisémites ne soit prononcé dans un lieu de culture de la ville de Paris.
Si les organisateurs utilisant à la fois le nom MSF et un lieu de culture de la Ville de Paris avaient voulu respecter les principes de la Charte de MSF dans laquelle figure les mots de « neutralité » ou de « non-discrimination de politique ».alors dès l’entrée de l'exposition une présentation de l’origine du conflit de 2014 aurait été proposée à savoir qu’entre le 12 juin et le 7 juillet 2014 le mouvement terroriste du Hamas a pris l’initiative de tirer depuis Gaza plus de 300 roquettes sur des civils israéliens et que ces millions de citoyens n’ont eu que quelques secondes pour se précipiter dans des abris anti-bombes.
Les organisateurs de MSF auraient dû, dès l’entrée des visiteurs, préciser que l’état d’Israël s’est désengagé complètement la bande de Gaza en 2005 et n’a aucune revendication sur le territoire.
Les organisateurs de MSF auraient dû rappeler les déclarations du Chef du Hamas Khaled Mechaal qui proclame sa vision de l’avenir : « Nous disons cela à l’Occident… Au nom d’Allah, vous serez vaincus. Demain notre nation sera assise sur le trône du monde » ; « l’objectif immédiat du Hamas est de détruire Israël »
Les organisateurs de MSF auraient dû citer le rapport du groupe de militaires, H.L.M.G, composé de généraux et de fonctionnaires de la défense d’Allemagne, de Colombie, d’Inde, d’Espagne, d’Australie, des Etats-Unis, de France, du Royaume-Uni et d’Italie qui a conclu « que l’Etat d’Israël avait agi selon les lois des conflits armés, et avait largement dépassé ses exigences ».
Enfin les organisateurs de MSF auraient simplement dû, concernant les difficultés quotidiennes des Palestiniens, évoquer les violations systématiques des droits de l'Homme par le mouvement terroriste du Hamas qui pratique les procès inéquitables, le viol systématique des droits des détenus, l’utilisation de civils palestiniens comme boucliers humains, l’utilisation d’écoles, de maisons privées, de mosquées et même d’hôpitaux pour stocker et lancer des roquettes sur Israël
Dans les textes du débat « Quel avenir pour les Palestiniens » MSF oublie ses propres valeurs de neutralité et d’impartialité « Entre ceux qui sont désespérément faibles et ceux qui disposent d’une force militaire presque illimitée, comment rester neutre et se prétendre encore humaniste ? » Le B’nai B’rith France prend acte du fait que Médecins sans Frontières n’est plus, de ses propres dires une association humaniste mais une association militante pour la cause palestinienne. Les organisateurs MSF de cette exposition ont donc oublié que ce n'est ni la force ni la faiblesse qui créent l’éthique.
Le B'nai B'rith France regrette que l'association Médecins Sans Frontières s'éloigne de ses missions menées avec neutralité et impartialité pour prendre de plus en plus les habits d'une association partisane.
Le B’nai B’rith France demande aux autorités de la Maire de Paris, de s’interroger sur le bien-fondé de cette exposition et de s’assurer avec détermination qu’aucun discours de haine aux relents antisionistes et antisémites ne soit prononcé dans un lieu de culture de la ville de Paris.