
Commission « réfugiés oubliés »
En 1948 : 856.000 Egyptiens, Irakiens, Libanais, Libyens, Syriens, Yéménites…juifs ont été expulsés de leurs pays.
En 1958 : ce sont 475.000 autres qui ont été expulsés
Ils ont dû quitter leurs pays souvent avec violence et toujours les mains vides, abandonnant leurs maisons, commerces, propriétés agricoles, usines etc…
Aujourd’hui ces juifs représentent, avec leurs descendants, la moitié de la population d’Israël !
Ils ont vécu sous des tentes dans des conditions très difficiles ; qui alors s’est inquiété à l’ONU de leur sort ?
Seul le tout jeune Etat d’Israël les a accueillis en absorbant l’équivalent de plus de la moitié de sa population en 1948
Seuls les arabes qui ont quitté Israël sont reconnus comme réfugiés par l’O.N.U. Quid des juifs qui ont quitté les pays arabes ?
C’est cette injustice que nous voulons réparer car la balance doit être faite entre les « réfugiés palestiniens » et les « réfugiés égyptiens, syriens, irakiens, yéménites, libanais juifs » et ainsi lutter contre la délégitimation d’Israël.
Comment ?
Les premiers travaux effectués par la commission « les réfugiés oubliés » nous ont enseigné que d’une part bon nombre de nos coreligionnaires réfugiés ont refoulé dans l’oubli une souffrance minimisée face au drame de la Shoah, et les autres n’en avaient pas connaissance, d’autre part cela n’intéressait pas du tout les medias ni les responsables politiques.
Alors !
Nous avons constaté que le sort des Chrétiens d’Orient aujourd’hui en terre d’Islam était le même que celui des juifs dans ces pays ; il ne se passe pas une semaine sans que nous n’ apprenions que tel massacre ou tel assassinat a été commis sans parler d’églises détruites… et que cela faisait rarement la une des journaux.
Ce parallèle flagrant nous incite à nous mobiliser.
Marcel Ojzerowicz pour la Commission les « réfugiés oubliés »
En 1948 : 856.000 Egyptiens, Irakiens, Libanais, Libyens, Syriens, Yéménites…juifs ont été expulsés de leurs pays.
En 1958 : ce sont 475.000 autres qui ont été expulsés
Ils ont dû quitter leurs pays souvent avec violence et toujours les mains vides, abandonnant leurs maisons, commerces, propriétés agricoles, usines etc…
Aujourd’hui ces juifs représentent, avec leurs descendants, la moitié de la population d’Israël !
Ils ont vécu sous des tentes dans des conditions très difficiles ; qui alors s’est inquiété à l’ONU de leur sort ?
Seul le tout jeune Etat d’Israël les a accueillis en absorbant l’équivalent de plus de la moitié de sa population en 1948
Seuls les arabes qui ont quitté Israël sont reconnus comme réfugiés par l’O.N.U. Quid des juifs qui ont quitté les pays arabes ?
C’est cette injustice que nous voulons réparer car la balance doit être faite entre les « réfugiés palestiniens » et les « réfugiés égyptiens, syriens, irakiens, yéménites, libanais juifs » et ainsi lutter contre la délégitimation d’Israël.
Comment ?
Les premiers travaux effectués par la commission « les réfugiés oubliés » nous ont enseigné que d’une part bon nombre de nos coreligionnaires réfugiés ont refoulé dans l’oubli une souffrance minimisée face au drame de la Shoah, et les autres n’en avaient pas connaissance, d’autre part cela n’intéressait pas du tout les medias ni les responsables politiques.
Alors !
Nous avons constaté que le sort des Chrétiens d’Orient aujourd’hui en terre d’Islam était le même que celui des juifs dans ces pays ; il ne se passe pas une semaine sans que nous n’ apprenions que tel massacre ou tel assassinat a été commis sans parler d’églises détruites… et que cela faisait rarement la une des journaux.
Ce parallèle flagrant nous incite à nous mobiliser.
Marcel Ojzerowicz pour la Commission les « réfugiés oubliés »