
Le Conseil Exécutif de l’UNESCO a adopté le mardi 2 mai 2017 une nouvelle résolution déposée par l'Algérie, l'Egypte, le Liban, le Maroc, Oman, le Qatar et le Soudan sur le thème "Palestine occupée" niant une fois de plus les liens entre Israël et le Peuple juif et rejetant la souveraineté d’Israël sur Jérusalem.
22 pays ont voté cette résolution, 10 ont voté contre dont l’Italie, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Grèce, l’Ukraine, le Togo, la Lituanie, les Pays-Bas ou encore l’Allemagne, et 23 se sont abstenus, dont la France et l’Espagne.
Rappelons que le 13 octobre 2016 une même résolution présentée par les mêmes pays avait été adoptée par 24 votes pour, 6 contres et 26 abstentions dont déjà celle de la France.
Le texte apparaît en première lecture plus consensuel que les précédents, résultat d’un accord obtenu par l’ambassadeur de l’Union européenne à l’UNESCO auprès des Palestiniens et des pays arabes, avec l’appui de l’Allemagne. Sous la pression de la communauté internationale, cette résolution indique ainsi « l'importance de la vieille ville de Jérusalem et de ses murs pour les trois religions monothéistes ».
Il n’en demeure pas moins que sur le fond, cette résolution est clairement anti-israélienne et à ce sujet, le texte rappelle habilement dans son premier chapitre les onze résolutions précédentes approuvées par le Conseil Exécutif, onze résolutions anti-israéliennes qui se voient donc, par les votes pour et les abstentions, à nouveau validées.
Cette résolution remet notamment en cause la souveraineté d’Israël sur Jérusalem en déclarant comme nulles toutes les mesures législatives et administratives et les mesures prises par Israël, qualifié de Puissance occupante, et en particulier la « loi fondamentale de Jérusalem». A noter également que le texte appelle à la fin du blocus israélien sur Gaza sans mentionner les attaques répétées du mouvement terroriste Hamas, depuis l’enclave palestinienne contre l’Etat hébreu.
Plus loin encore, la résolution rappelle que le tombeau des Patriarches à Hébron et le tombeau de Rachel à Bethléem, à nouveau dénommés en arabe « font partie intégrante du Territoire palestinien occupé ».
Le B'nai B'rith France condamne avec force ce nouveau projet qui valide les précédentes résolutions anti israéliennes de l'UNESCO ; il remet en cause la légitimité d'Israël sur la ville de Jérusalem capitale de l'Etat d'Israël et nie les liens entre le Peuple juif et Israël.
Face à cette falsification de l'histoire aux conséquences majeures qui prend l'UNESCO en otage et qui agit directement contre la paix dans la région, le B'nai B'rith France tient à remercier les dix pays qui ont voté contre ce texte infâme : l'Allemagne, les Etats-Unis, la Lituanie, la Grèce, l’Italie, les Pays-Bas, le Royaume Uni de Grande Bretagne, le Paraguay, le Togo, l’Ukraine.
Le B'nai B'rith France regrette que les autorités françaises aient, une fois de plus et malgré les engagements pris, refusé de voter contre ce texte honteux comme d’autres pays européens l’ont fait sans ambiguïtés.
Avant le vote, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou avait vigoureusement critiqué le projet de résolution. « Il n’y a pas d’autres personnes dans le monde pour qui Jérusalem est aussi sainte et importante que pour le peuple juif, même si une réunion se tient aujourd’hui à l’UNESCO qui tentera de nier cette vérité historique. Nous dénonçons l’UNESCO et défendons notre vérité, c’est la vérité »
Le B'nai B'rith , ONG présente à l'UNESCO, continuera d'agir au quotidien avec détermination contre ces attaques inadmissibles et partisanes envers Israël et plus largement envers le Peuple juif, à un moment où, en France, le populisme antisémite et antisioniste est plus menaçant que jamais et exige de tous les défenseurs des valeurs humanistes, démocratiques et républicaines une mobilisation de chaque instant.
22 pays ont voté cette résolution, 10 ont voté contre dont l’Italie, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Grèce, l’Ukraine, le Togo, la Lituanie, les Pays-Bas ou encore l’Allemagne, et 23 se sont abstenus, dont la France et l’Espagne.
Rappelons que le 13 octobre 2016 une même résolution présentée par les mêmes pays avait été adoptée par 24 votes pour, 6 contres et 26 abstentions dont déjà celle de la France.
Le texte apparaît en première lecture plus consensuel que les précédents, résultat d’un accord obtenu par l’ambassadeur de l’Union européenne à l’UNESCO auprès des Palestiniens et des pays arabes, avec l’appui de l’Allemagne. Sous la pression de la communauté internationale, cette résolution indique ainsi « l'importance de la vieille ville de Jérusalem et de ses murs pour les trois religions monothéistes ».
Il n’en demeure pas moins que sur le fond, cette résolution est clairement anti-israélienne et à ce sujet, le texte rappelle habilement dans son premier chapitre les onze résolutions précédentes approuvées par le Conseil Exécutif, onze résolutions anti-israéliennes qui se voient donc, par les votes pour et les abstentions, à nouveau validées.
Cette résolution remet notamment en cause la souveraineté d’Israël sur Jérusalem en déclarant comme nulles toutes les mesures législatives et administratives et les mesures prises par Israël, qualifié de Puissance occupante, et en particulier la « loi fondamentale de Jérusalem». A noter également que le texte appelle à la fin du blocus israélien sur Gaza sans mentionner les attaques répétées du mouvement terroriste Hamas, depuis l’enclave palestinienne contre l’Etat hébreu.
Plus loin encore, la résolution rappelle que le tombeau des Patriarches à Hébron et le tombeau de Rachel à Bethléem, à nouveau dénommés en arabe « font partie intégrante du Territoire palestinien occupé ».
Le B'nai B'rith France condamne avec force ce nouveau projet qui valide les précédentes résolutions anti israéliennes de l'UNESCO ; il remet en cause la légitimité d'Israël sur la ville de Jérusalem capitale de l'Etat d'Israël et nie les liens entre le Peuple juif et Israël.
Face à cette falsification de l'histoire aux conséquences majeures qui prend l'UNESCO en otage et qui agit directement contre la paix dans la région, le B'nai B'rith France tient à remercier les dix pays qui ont voté contre ce texte infâme : l'Allemagne, les Etats-Unis, la Lituanie, la Grèce, l’Italie, les Pays-Bas, le Royaume Uni de Grande Bretagne, le Paraguay, le Togo, l’Ukraine.
Le B'nai B'rith France regrette que les autorités françaises aient, une fois de plus et malgré les engagements pris, refusé de voter contre ce texte honteux comme d’autres pays européens l’ont fait sans ambiguïtés.
Avant le vote, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou avait vigoureusement critiqué le projet de résolution. « Il n’y a pas d’autres personnes dans le monde pour qui Jérusalem est aussi sainte et importante que pour le peuple juif, même si une réunion se tient aujourd’hui à l’UNESCO qui tentera de nier cette vérité historique. Nous dénonçons l’UNESCO et défendons notre vérité, c’est la vérité »
Le B'nai B'rith , ONG présente à l'UNESCO, continuera d'agir au quotidien avec détermination contre ces attaques inadmissibles et partisanes envers Israël et plus largement envers le Peuple juif, à un moment où, en France, le populisme antisémite et antisioniste est plus menaçant que jamais et exige de tous les défenseurs des valeurs humanistes, démocratiques et républicaines une mobilisation de chaque instant.