
Le B’nai B’rith France et son Président Serge Dahan ont été scandalisés à la vision du reportage sur Jérusalem intitulé « Jérusalem : quand la ville sainte se déchire » et diffusé dimanche 18 décembre par M6 dans le cadre de son émission « Enquête exclusive ».
Loin de tout exercice journalistique digne de ce nom, ce reportage a constitué en réalité un procès à charge contre Israël et plus spécifiquement contre les israéliens vivants à Jérusalem.
Caricatures, contre-vérités, désinformation, amalgames et prises de positions subjectives contre Israël et en faveur des palestiniens ont malheureusement émaillé une enquête qui n’en avait que le nom et ont été égrainées sans scrupule durant plus de 90 minutes par le journaliste Bernard De La Villardière.
Une telle initiative, plus proche de la mise en scène que du documentaire, n’avait pour autre objectif que de stigmatiser une population bien ciblée, les juifs vivant à Jérusalem et au-delà, les habitants juifs des territoires, sans aucun égard avec la vérité et la justice.
A l’heure où certaines instances internationales comme l’UNESCO travestissent ouvertement la vérité historique de Jérusalem et de ses liens millénaires avec le peuple juif, ce reportage a constitué une étape de plus dans l’entreprise de révisionnisme historique auquel Israël et la communauté juive doivent faire face.
Le B’nai B’rith France demande ardemment au C.S.A d'intervenir auprès de la chaine M6 des responsables de la chaine M6 pour avoir réalisé et diffusé un élément de désinformation aussi flagrant, dont les conséquences, on le sait, sont lourdes dans le climat de haine anti-juive qui sévit en France depuis de nombreux mois.
Cette présentation partisane « malhonnête » de la société israélienne et des juifs sur une chaine de télévision française est aussi scandaleux qu’irresponsable.
Le journalisme suppose le respect d’une éthique fondée sur la vérité, la rigueur, l’exactitude, l’équité, et l’impartialité tout ce dont a manqué le reportage « Jérusalem : quand la ville sainte se déchire ». Cette liberté responsable donnée aux journalistes est exigeante et ne peut souffrir une présentation partiale et populiste vecteur de haine et de rejet de l’autre
Loin de tout exercice journalistique digne de ce nom, ce reportage a constitué en réalité un procès à charge contre Israël et plus spécifiquement contre les israéliens vivants à Jérusalem.
Caricatures, contre-vérités, désinformation, amalgames et prises de positions subjectives contre Israël et en faveur des palestiniens ont malheureusement émaillé une enquête qui n’en avait que le nom et ont été égrainées sans scrupule durant plus de 90 minutes par le journaliste Bernard De La Villardière.
Une telle initiative, plus proche de la mise en scène que du documentaire, n’avait pour autre objectif que de stigmatiser une population bien ciblée, les juifs vivant à Jérusalem et au-delà, les habitants juifs des territoires, sans aucun égard avec la vérité et la justice.
A l’heure où certaines instances internationales comme l’UNESCO travestissent ouvertement la vérité historique de Jérusalem et de ses liens millénaires avec le peuple juif, ce reportage a constitué une étape de plus dans l’entreprise de révisionnisme historique auquel Israël et la communauté juive doivent faire face.
Le B’nai B’rith France demande ardemment au C.S.A d'intervenir auprès de la chaine M6 des responsables de la chaine M6 pour avoir réalisé et diffusé un élément de désinformation aussi flagrant, dont les conséquences, on le sait, sont lourdes dans le climat de haine anti-juive qui sévit en France depuis de nombreux mois.
Cette présentation partisane « malhonnête » de la société israélienne et des juifs sur une chaine de télévision française est aussi scandaleux qu’irresponsable.
Le journalisme suppose le respect d’une éthique fondée sur la vérité, la rigueur, l’exactitude, l’équité, et l’impartialité tout ce dont a manqué le reportage « Jérusalem : quand la ville sainte se déchire ». Cette liberté responsable donnée aux journalistes est exigeante et ne peut souffrir une présentation partiale et populiste vecteur de haine et de rejet de l’autre