
Le B'nai B'rith France et son Président Serge Dahan dénoncent la « Conférence internationale sur la paix au Proche-Orient » qui doit se tenir à Paris le 15 janvier prochain, organisée par la France, et à laquelle doivent participer 70 pays, en l'absence d'Israël.
Cette initiative dommageable, qui vise à tenter d’imposer à Israël une solution non négociée, est porteuse de grands risques pour la sécurité de la région et son avenir.
En écartant tout dialogue direct, « seul à même d'aboutir à des solutions de compromis autour d'intérêts mutuellement reconnus », cette réunion de Paris constituera un obstacle à la paix.
D'être organisée dans la précipitation, à cinq jours seulement du changement d'administration américaine, en dit long sur l'état d'esprit ambiant et sur les buts recherchés.
Après le récent vote par le Conseil de sécurité de l'ONU d'une résolution déséquilibrée contre Israël, et le discours décevant du Secrétaire d'Etat américain John Kerry qui a occulté la cause réelle du conflit à savoir le refus des dirigeants palestiniens d'accepter l'existence d'un Etat juif, une telle conférence cherche à mettre à nouveau Israël sur le banc des accusés.
Il ne fait guère de doute que les décisions de cette Conférence de Paris serviront de trame pour une nouvelle résolution inappropriée et déséquilibré du Conseil de sécurité de l’ONU, mettre Israël une fois de plus à l'index et tenter d’imposer des concessions.
Le B'nai B'rith France dénonce la tenue d’une réunion qui veut imposer des conditions concernant les statuts définitifs alors qu’elles doivent être négociées directement entre les parties. Le B’nai B’rith France dénonce la tenue à Paris d’une réunion qui récompense une stratégie qui veut éviter les négociations directes et encourage les sanctions contre Israël.
La paix comme l’a déclaré le Président Obama en 2011: « ne viendra pas par des déclarations et des résolutions au sein des Nations Unies ».
Ces pressions incessantes contre Israël, qui visent avant tout à lui imposer unilatéralement une solution non négociée, sont indignes, irresponsables et porteuses de grands dangers pour son avenir et pour celui de la région.
Que cette Conférence se tienne dans ces conditions n’est pas acceptable.
Face à ces menaces et à ces dangers, pour réaffirmer son soutien à Israël et au principe d’un dialogue direct pour arriver à la paix, le B'nai B'rith France appelle à participer à la manifestation organisée par le CRIF et les principales institutions juives de France dimanche 15 janvier devant l’Ambassade d’Israël en France à Paris.
Cette initiative dommageable, qui vise à tenter d’imposer à Israël une solution non négociée, est porteuse de grands risques pour la sécurité de la région et son avenir.
En écartant tout dialogue direct, « seul à même d'aboutir à des solutions de compromis autour d'intérêts mutuellement reconnus », cette réunion de Paris constituera un obstacle à la paix.
D'être organisée dans la précipitation, à cinq jours seulement du changement d'administration américaine, en dit long sur l'état d'esprit ambiant et sur les buts recherchés.
Après le récent vote par le Conseil de sécurité de l'ONU d'une résolution déséquilibrée contre Israël, et le discours décevant du Secrétaire d'Etat américain John Kerry qui a occulté la cause réelle du conflit à savoir le refus des dirigeants palestiniens d'accepter l'existence d'un Etat juif, une telle conférence cherche à mettre à nouveau Israël sur le banc des accusés.
Il ne fait guère de doute que les décisions de cette Conférence de Paris serviront de trame pour une nouvelle résolution inappropriée et déséquilibré du Conseil de sécurité de l’ONU, mettre Israël une fois de plus à l'index et tenter d’imposer des concessions.
Le B'nai B'rith France dénonce la tenue d’une réunion qui veut imposer des conditions concernant les statuts définitifs alors qu’elles doivent être négociées directement entre les parties. Le B’nai B’rith France dénonce la tenue à Paris d’une réunion qui récompense une stratégie qui veut éviter les négociations directes et encourage les sanctions contre Israël.
La paix comme l’a déclaré le Président Obama en 2011: « ne viendra pas par des déclarations et des résolutions au sein des Nations Unies ».
Ces pressions incessantes contre Israël, qui visent avant tout à lui imposer unilatéralement une solution non négociée, sont indignes, irresponsables et porteuses de grands dangers pour son avenir et pour celui de la région.
Que cette Conférence se tienne dans ces conditions n’est pas acceptable.
Face à ces menaces et à ces dangers, pour réaffirmer son soutien à Israël et au principe d’un dialogue direct pour arriver à la paix, le B'nai B'rith France appelle à participer à la manifestation organisée par le CRIF et les principales institutions juives de France dimanche 15 janvier devant l’Ambassade d’Israël en France à Paris.