
Le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Union Européennes, réuni le 18 janvier 2016, a adopté des recommandations pour déclarer que l’UE est «déterminée à veiller à ce que l’ensemble des accords qu'elle conclut avec l'État d'Israël mentionnent sans équivoque et expressément qu'ils sont inapplicables aux territoires occupés par Israël en 1967.
Ceci ne constitue pas un boycott d'Israël, auquel l'UE est fermement opposée ». Autrement dit, le texte adopté par les 28 ministres de l'UE prévoit que tout accord bilatéral signé avec Israël exclu la Judée-Samarie, le Golan et « Jérusalem-Est », ainsi, que les activités des entreprises israéliennes situées dans les zones concernées seront exclus de tous les accords signés entre des pays de l’Union Européenne et Israël.
Dans le même temps, le Premier Ministre Manuel Valls, déplorait devant plus de 700 personnes réunis par les « Amis du Crif » que « les critiques de la politique d'Israël se transforme en un “antisionisme” dissimulant presque systématiquement de l'antisémitisme.
Il y a dans la haine d'Israël un paravent de ce nouvel antisémitisme, c'est incontestable » Après le marquage des produits de Judée-Samarie et du Golan, cette recommandation unique au monde s’apparente à un acharnement de l’Europe contre Israël à un moment où Israël est pourtant confronté à une nouvelle vague de terrorisme palestinien qui tue sauvagement au quotidien des civils israéliens et aux appels réguliers à la violence en provenance de l’Autorité Palestinienne sans que l’Union Européenne ne semble en être choquée.
L’Union Européenne franchit ainsi une nouvelle étape anti-israélienne lourde de responsabilités dans un contexte d'antisémitisme fondé en grande partie sur l’antisionisme auquel les communautés juives européennes doivent faire face.
Le B’nai Brith France et son Président Serge Dahan en appellent aux autorités françaises pour ramener la diplomatie européenne à la raison et ne pas s’associer à un processus dangereux et lourd de risques qui voit jour après jour, sous nos yeux, souvent dans la plus grande indifférence antisionisme islamiste se transformer en antisémitisme décomplexé, et l’antisémitisme se transformer à son tour en attaques meurtrières contre les juifs.
L’Europe qui constitue depuis la Shoah le plus grand cimetière juif au monde doit aujourd’hui plus que ne jamais prendre ses responsabilités pour stopper au lieu d’attiser par des recommandations inadaptées et non équitables la haine anti-juive qui s’y développe.
Ceci ne constitue pas un boycott d'Israël, auquel l'UE est fermement opposée ». Autrement dit, le texte adopté par les 28 ministres de l'UE prévoit que tout accord bilatéral signé avec Israël exclu la Judée-Samarie, le Golan et « Jérusalem-Est », ainsi, que les activités des entreprises israéliennes situées dans les zones concernées seront exclus de tous les accords signés entre des pays de l’Union Européenne et Israël.
Dans le même temps, le Premier Ministre Manuel Valls, déplorait devant plus de 700 personnes réunis par les « Amis du Crif » que « les critiques de la politique d'Israël se transforme en un “antisionisme” dissimulant presque systématiquement de l'antisémitisme.
Il y a dans la haine d'Israël un paravent de ce nouvel antisémitisme, c'est incontestable » Après le marquage des produits de Judée-Samarie et du Golan, cette recommandation unique au monde s’apparente à un acharnement de l’Europe contre Israël à un moment où Israël est pourtant confronté à une nouvelle vague de terrorisme palestinien qui tue sauvagement au quotidien des civils israéliens et aux appels réguliers à la violence en provenance de l’Autorité Palestinienne sans que l’Union Européenne ne semble en être choquée.
L’Union Européenne franchit ainsi une nouvelle étape anti-israélienne lourde de responsabilités dans un contexte d'antisémitisme fondé en grande partie sur l’antisionisme auquel les communautés juives européennes doivent faire face.
Le B’nai Brith France et son Président Serge Dahan en appellent aux autorités françaises pour ramener la diplomatie européenne à la raison et ne pas s’associer à un processus dangereux et lourd de risques qui voit jour après jour, sous nos yeux, souvent dans la plus grande indifférence antisionisme islamiste se transformer en antisémitisme décomplexé, et l’antisémitisme se transformer à son tour en attaques meurtrières contre les juifs.
L’Europe qui constitue depuis la Shoah le plus grand cimetière juif au monde doit aujourd’hui plus que ne jamais prendre ses responsabilités pour stopper au lieu d’attiser par des recommandations inadaptées et non équitables la haine anti-juive qui s’y développe.