
Le B’nai B’rith France horrifié par l’ampleur du désastre humanitaire perpétré par le régime syrien assisté dans cette tache par l’armée Iranienne et terroristes du Hezbollah condamne sans appel la tragédie humanitaire d'Alep
Ces milliers de victimes civiles- vieillards, hommes, femmes et enfants meurtris, prises pour cibles et obligées de fuir leurs villes détruites après avoir servi de boucliers humains, sont les témoins d’une démission des pays occidentaux face à la barbarie
Cette année 2016 qui a été marquée par des drames, des bouleversements politiques et géopolitiques majeurs s’achève dans les larmes et dans le sang à Alep martyrisée, mais aussi dans les larmes et dans le sang des pays frappés par le terrorisme le plus sauvage, comme encore récemment la Turquie ou l’Egypte
Et pourtant tandis que des régimes totalitaires poursuivent la destruction de leur population et que des terroristes assassinent hommes femmes et enfants dans les rues de Paris, Nice, Jérusalem, Istanbul, le Caire… les pays occidentaux dans une pensée obsédante votent année après année des résolutions condamnant Israël.
Comme l’a reconnu le Secrétaire Général de l'ONU, Monsieur Ban Ki-moon. « Des décennies de manœuvres politiques ont créé une quantité disproportionnée de résolutions, de rapports et de conférences critiquant Israël »
Ces pays, qui inventent en permanence une histoire pour condamner la seule démocratie de la région, veulent ignorer une réalité de terrain celle d’un Israël qui, fidèle à la tradition du peuple juif de ne pas rester indifférent à la souffrance, apporte secours à des milliers de blessés syriens en les hébergeant dans ses hôpitaux.
Ces pays qui condamnent Israël à l’O.N.U. veulent aussi ignorer les actions humanitaires d’Israël comme ce projet de l'association Amalia « Bus des anges » dont l'objectif est de transférer des enfants syriens dans des centres médicaux en Israël pour les faire soigner.
On doit s’interroger sur ce « deux poids deux mesures » témoin d’une dérive de longue date qui met sans raison et, dans un déni de l’histoire, Israël sur le banc des accusés des nations alimentant ainsi un aveuglement dangereux pour l’avenir du monde.
Cette attitude partisane ignore manifestement les paroles du pasteur allemand Martin Niemöller gravées sur un mur de Yad Vashem à Jérusalem. « Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas communiste. Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n'ai rien dit, je n'étais pas juif. Puis ils sont venus me chercher. Et il ne restait personne pour protester.»
Ces milliers de victimes civiles- vieillards, hommes, femmes et enfants meurtris, prises pour cibles et obligées de fuir leurs villes détruites après avoir servi de boucliers humains, sont les témoins d’une démission des pays occidentaux face à la barbarie
Cette année 2016 qui a été marquée par des drames, des bouleversements politiques et géopolitiques majeurs s’achève dans les larmes et dans le sang à Alep martyrisée, mais aussi dans les larmes et dans le sang des pays frappés par le terrorisme le plus sauvage, comme encore récemment la Turquie ou l’Egypte
Et pourtant tandis que des régimes totalitaires poursuivent la destruction de leur population et que des terroristes assassinent hommes femmes et enfants dans les rues de Paris, Nice, Jérusalem, Istanbul, le Caire… les pays occidentaux dans une pensée obsédante votent année après année des résolutions condamnant Israël.
Comme l’a reconnu le Secrétaire Général de l'ONU, Monsieur Ban Ki-moon. « Des décennies de manœuvres politiques ont créé une quantité disproportionnée de résolutions, de rapports et de conférences critiquant Israël »
Ces pays, qui inventent en permanence une histoire pour condamner la seule démocratie de la région, veulent ignorer une réalité de terrain celle d’un Israël qui, fidèle à la tradition du peuple juif de ne pas rester indifférent à la souffrance, apporte secours à des milliers de blessés syriens en les hébergeant dans ses hôpitaux.
Ces pays qui condamnent Israël à l’O.N.U. veulent aussi ignorer les actions humanitaires d’Israël comme ce projet de l'association Amalia « Bus des anges » dont l'objectif est de transférer des enfants syriens dans des centres médicaux en Israël pour les faire soigner.
On doit s’interroger sur ce « deux poids deux mesures » témoin d’une dérive de longue date qui met sans raison et, dans un déni de l’histoire, Israël sur le banc des accusés des nations alimentant ainsi un aveuglement dangereux pour l’avenir du monde.
Cette attitude partisane ignore manifestement les paroles du pasteur allemand Martin Niemöller gravées sur un mur de Yad Vashem à Jérusalem. « Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas communiste. Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n'ai rien dit, je n'étais pas juif. Puis ils sont venus me chercher. Et il ne restait personne pour protester.»