
Le B’nai B’rith France se félicite de la décision du Tribunal Administratif de Montreuil qui a rendu vendredi 31 janvier une ordonnance de suspension immédiate de la décision du Maire de Bagnolet, Monsieur Marc Everbecq, qui a fait le 11 décembre 2013 « citoyen d'honneur de la ville » Georges Ibrahim Abdallah.
Le B’nai Brith France avait fermement dénoncé cette décision indigne et irresponsable du Conseil Municipal de Bagnolet qui, par ailleurs, dans un contexte chargé d'incidents racistes et antisémites souffle sur les braises de la haine et encourage les actes contre la communauté juive.
Georges Ibrahim Abdallah était le chef des Fractions Armées Révolutionnaires Libanaise dont il a dirigé les opérations en France sous les pseudonymes Salih al-Masri et Abdu-Qadir. Le 18 janvier 1982 le FARL assassine l’attaché militaire américain à Paris Monsieur Charles R. Ray, le 3 avril il tue le diplomate israélien Yacov Barsimentov et blesse gravement le consul américain à Strasbourg Robert Onan Homme. Georges Ibrahim Abdallah a été arrêté à Lyon en 1984 et a été condamné à la prison à vie en 1987.
Le Tribunal Administratif de Montreuil avait été saisi par la Préfecture Seine-Saint-Denis d’une demande d’annulation de la délibération du conseil municipal du 11 décembre 2013 qui avait fait de Georges Ibrahim Abdallah un citoyen d’honneur de la ville de Bagnolet.
A la suite de l’audience qui s’est tenue le 30 janvier le Tribunal Administratif a donc rendu une ordonnance de suspension immédiate de cette décision
Georges Ibrahim Abdallah n’est donc plus « citoyen d'honneur » de la ville de Bagnolet, le B’nai B’rith se félicite de cette décision de justice et remercie le Préfet de Seine saint Denis Monsieur Philippe Galli pour son action contre cette initiative «politique et idéologique» du maire communiste de Bagnolet
« C’est un grand succès et une première dans l’histoire du droit français qu’il y a un recours contre une délibération décernant un titre d’honneur. Cette décision fera donc jurisprudence», s’est félicité Maître Jérémie Boulay, plaidant pour un conseiller municipal de Bagnolet.
Au cours de l'audience jeudi après-midi, Maître Boulay avait assuré que cette motion « contrevient au principe de neutralité »et "n'a pas d'intérêt public local « puisque Georges Ibrahim Abdallah n'a joué aucun rôle ni positif ni valorisant » pour la ville.
Le B’nai Brith France avait fermement dénoncé cette décision indigne et irresponsable du Conseil Municipal de Bagnolet qui, par ailleurs, dans un contexte chargé d'incidents racistes et antisémites souffle sur les braises de la haine et encourage les actes contre la communauté juive.
Georges Ibrahim Abdallah était le chef des Fractions Armées Révolutionnaires Libanaise dont il a dirigé les opérations en France sous les pseudonymes Salih al-Masri et Abdu-Qadir. Le 18 janvier 1982 le FARL assassine l’attaché militaire américain à Paris Monsieur Charles R. Ray, le 3 avril il tue le diplomate israélien Yacov Barsimentov et blesse gravement le consul américain à Strasbourg Robert Onan Homme. Georges Ibrahim Abdallah a été arrêté à Lyon en 1984 et a été condamné à la prison à vie en 1987.
Le Tribunal Administratif de Montreuil avait été saisi par la Préfecture Seine-Saint-Denis d’une demande d’annulation de la délibération du conseil municipal du 11 décembre 2013 qui avait fait de Georges Ibrahim Abdallah un citoyen d’honneur de la ville de Bagnolet.
A la suite de l’audience qui s’est tenue le 30 janvier le Tribunal Administratif a donc rendu une ordonnance de suspension immédiate de cette décision
Georges Ibrahim Abdallah n’est donc plus « citoyen d'honneur » de la ville de Bagnolet, le B’nai B’rith se félicite de cette décision de justice et remercie le Préfet de Seine saint Denis Monsieur Philippe Galli pour son action contre cette initiative «politique et idéologique» du maire communiste de Bagnolet
« C’est un grand succès et une première dans l’histoire du droit français qu’il y a un recours contre une délibération décernant un titre d’honneur. Cette décision fera donc jurisprudence», s’est félicité Maître Jérémie Boulay, plaidant pour un conseiller municipal de Bagnolet.
Au cours de l'audience jeudi après-midi, Maître Boulay avait assuré que cette motion « contrevient au principe de neutralité »et "n'a pas d'intérêt public local « puisque Georges Ibrahim Abdallah n'a joué aucun rôle ni positif ni valorisant » pour la ville.